A découvrir
Étape incontournable de la route des vins du Beaujolais
Découvrez sans tarder ce qui fait la renommée de notre beau village de Clochemerle
La pissotière
Le roman
Le musée
Le manège
La pissotière
Unique et inimitable avec sa pissotière qui n’en finit pas d’alimenter les débats.
Le village de Clochemerle s’interrogeait encore il n’y a pas très longtemps sur le remplacement et le nouveau positionnement de celle-ci !
Ayant perdu sa vocation de parking, la place centrale de Vaux en Beaujolais a été totalement réaménagée.
Désormais pavée, elle est entourée de façades rénovées avec au centre la nouvelle Pissotière.
Dans son prolongement, une terrasse panoramique permet d’admirer le magnifique paysage de vignes.
Belle introduction avant de visiter le musée Gabriel Chevallier et la Cave de Clochemerle.
Le roman
Le roman Clochemerle est paru en 1934 et traduit en 27 langues.
Tout a commencé quand Barthélemy Piéchut, maire de la commune de Clochemerle-en-Beaujolais, dévoile à Ernest Tafardel, l’instituteur, son projet :
« – Je veux faire construire un urinoir , Tafardel.
– Un urinoir ? s’écria l’instituteur, tout saisi… Le maire se méprit sur le sens de l’exclamation
– Enfin, dit-il, une pissotière ! »
Cette vespasienne, destinée, bien plus peut-être, à confondre Mme la baronne Alphonsine de Courtebiche, le curé Ponosse, le notaire Girodot et les suppôts de la réaction, qu’à procurer un grand soulagement à la gente virile de Clochemerle, sera édifiée tout près de l’église où, Justine Putet, vieille demoiselle, exerce une surveillance étroite.
Indignée de voir exhibées sous ses fenêtres tant de “choses” dont elle s’était jusqu’alors préservée, celle-ci entre alors en croisade contre l’édicule public, aidée par de pieuses femmes.
Au cours de cette guéguerre autour d’une pissotière se dévoilent crûment et drolatiquement les antagonismes et les secrets d’ordinaire tenus cachés.
Mais il faut croire que cette joyeuse satire fut bien accueillie puisque plusieurs villages revendiquent l’honneur d’avoir servi de modèle à Clochemerle-en-Beaujolais…
Le musée
Un musée à la mémoire de Gabriel Chevallier rassemble les ouvrages de l’auteur, dont certains méconnus.
Des documents papiers et audiovisuels sur sa vie, sur sa relation avec Vaux-en-Beaujolais, des archives familiales aimablement prêtées par ses héritiers.
Né à Lyon en 1895, après des études dans divers établissements, dont un collège religieux, Gabriel Chevallier entre aux Beaux-Arts en 1911. Mobilisé dès 1914, il est blessé un an plus tard. Il finira néanmoins la guerre.
À partir de 1925, il se lance dans l’écriture romanesque, utilisant d’abord ses propres expériences : avec “La Peur”, il témoigne de son atroce calvaire de soldat ; Mais c’est avec “ Clochemerle ”, une chronique villageoise rabelaisienne éditée en 1934, qu’il connaît le succès. Traduit en 27 langues et vendu à plusieurs millions d’exemplaires, l’ouvrage assure à son auteur gloire et fortune.
Gabriel Chevallier meurt en 1969 à Cannes et laisse une œuvre devenue un classique toujours réédité en collection de poche.
Le manège
Un manège et ses automates constituent le point fort de l’animation proposée par le pôle œnotouristique.
Les douze grandes figures du roman sont représentées dans des jeux de scène et animent deux pièces célèbres du livre.
Les personnages se présentent en chanson beaujolaise.
Préparez votre visite à Clochemerle !
Découvrez aussi les restaurants de Clochemerle, « l’Auberge de Clochemerle » et « l’Échanson », de quoi ravir vos papilles avant ou après une visite à la cave…
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Horaires d'ouverture
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Lundi
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16h30-19h30
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Mardi
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10h30-12h30
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Mercredi
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Jeudi
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10h30-12h30
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Vendredi
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10h30-12h30
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16h30-21h
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Samedi
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10h30-12h30
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15h-23h
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Dimanche
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10h-12h30
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15h-20h
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